Evidence!

Un jour, un homme  joyeux et humble invite un ami à boire le thé dans sa maison au fond du désert.
L’homme dit à son ami: “Sais-tu que dans la maison d’à côté, il y a un trésor? ”
Son ami, un peu gêné, lui répond: “Mais, mon frère, il n’y a pas de maison à côté!”
L’homme dans un sourire doux et tranquille se lève et prend son ami par la main: “Eh bien, construisons-la!”
 

REGAINS est une activité d'Oxalis, coopérative d'entrepreneurs dont je fais partie. Ce site présente l'expérience que je mets à disposition des territoires, des entreprises, des associations, des collectivités ... pour susciter et accompagner le changement

 

ID

Marc PASCAL
REGAINS  Oxalis
13 rue de Bourgogne
73 000 CHAMBERY
+33 6 08 83 52 69   
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
skype: marcpascal73

 

 

  • 1.jpg
  • 5.jpg
  • 2.jpg
  • 12.jpg
  • 8.jpg
  • 9.jpg
  • 19.jpg
  • 14.jpg
  • 11.jpg
  • 3.jpg
  • 18.jpg
  • 7.jpg
  • 4.jpg
  • 6.jpg
  • 17.jpg
  • 16.jpg
  • 15.jpg
  • 10.jpg
  • 13.jpg

Mes activités et mes recherches

Un territoire peut –il exister sans homme et sans entreprise ? Et à l’inverse, les hommes et leurs entreprises peuvent-ils exister sans racines, sans terroir?

Dans ce tissage du local, la Nature (l’état des ressources y compris humaines) et le Travail (la manière de respecter ou non ces ressources autant que la manière d’être) constituent, pour moi, des clés que je préfère aux termes de développement durable.

 “L’universel c’est le local moins les murs” (Torga)

Pourquoi tout le monde abuse de l'expression "On va dans le mur"? En vérité, nous n'allons pas dans le mur, nous y sommes depuis longtemps...mais nous ne voulons pas le reconnaitre. Car le mur n’est pas celui que l'on croit, où l’on se fracasse les deux pieds sur le frein: il est, en réalité, cet état de déliquescence, ce faux semblant de rigueur, cette épaisseur molle que l’on charge sur nos épaules en baissant un peu plus le front tous les jours. Comment prendre la mesure de cette frontière floue que l’on a déjà largement dépassée, qui nous écrase?

Comment remettre positivement en cause la confiance des hommes dans les technologies scintillantes, dans la croyance infernale en l'économissisme? La culture est-elle une porte pour toucher le fond de ce que nous sommes en tant qu’humanité et pour passer des démarches individuelles si nombreuses aux mouvements de fond collectifs indispensables?

          

Le sens de mon travail

J’accompagne des collectivités, des communautés, des entreprises, des territoires qui s’engagent dans des innovations et projets visant la sobriété, l'expérimentaiton sociale et le développement humain.

Mon rôle est de les aider à prendre des risques et de prendre ces risques avec eux qu’il s’agisse d’études-action, de formation-action ou de missions de conseil-appui.

 “Les innovations sont des désobéissances qui ont réussi” (A. Einstein)

Sur le terrain, les initiatives sont extrêmement nombreuses pour refonder du lien social, recréer de l’économie de proximité, respecter les ressources. Mon travail, autant que mes capacités le permettent, est de les soutenir.

Pour cela, les valeurs nécessaires pour intervenir sont l’indépendance, la rigueur intellectuelle, la solidarité, l’engagement et le courage d’oser. Je souhaite les partager avec mes partenaires et clients et ainsi accroitre chaque jour leur intensité et leur rayonnement.

Alors que les avancées technologiques et scientifiques nous noient souvent dans l’illusion du toujours plus ou de la solution miracle, je cherche dans la dimension solidaire et culturelle (“le social”) des leviers plus profonds pour défaire les noeuds qui nous étranglent.

 

Je mets mes 30 ans d'expérience et ma centaine de références au service de ces objectifs.

 30  ans d'approches transversales et pluridisciplinaires autant que tâtonnantes, avec ce mot de Michel SERRES ("Petite Poucette" 2012) toujours, en tête, pour toujours garder en tête l'impérieuse nécessité de la transversalité: "si l'on découpe la réalité vivante de manière analytique, elle meurt".